Je n'écris pas ce blog pour polémiquer sur le Covid, mais pour confirmer ce que je disais l'automne dernier sur les symptômes légers ou pas.
Comme je le disais il y a quelques mois, je n'ai pas fait la quatrième dose du vaccin. Malgré les six concerts que j'ai fait entre novembre et mars, je n'ai pas attrapé le Covid., mais je l'ai tout de même eu, il y a quatre semaines, probablement après un culte où nous étions plus nombreux que d'habitude, et surtout tous regroupés dans un endroit plus petit que notre salle pour des rafraîchissements. Tout juste trois jours plus tard, j'ai commencé à avoir mal à la gorge et, étant le jour avant l'Ascension où tout était fermé, je ne me suis alarmée outre mesure. Ne sortant pas et n'ayant pas eu les soins le jour de l'Ascension, je pensais que je commençais un refroidissement et que le rhume allait se déclencher tout soudain, mais comme rien ne venait, le samedi, après avoir contrôlé les symptômes que j'avais avec ceux mentionnés sur internet, j'ai compris qu'il s'agissait du Covid. Il faut préciser que je ne me suis pas sentie mal, j'avais certes mal à la gorge, une petite toux quelque peu différente de celle de l'asthme, le mal de tête et une sinusite plutôt qu'un rhume. Le dimanche j'ai commencé à avoir des nausées et un peu mal au ventre, surtout après le repas. Cela a duré deux jours. Etant donné que j'ai réalisé que j'avais le Covid le samedi et que je n'avais pas de test à la maison, je ne l'ai donc pas fait. Cela veut dire que je n'ai pas la preuve à 100% qu'il s'agissait du virus, mais vu les symptômes qui ont assez vite disparus et surtout la fatigue, qui avait commencé le dimanche, toujours présente, je suis quasi certaine que cela était le Covid. Comme je le disais il y a quelques mois, nous ne sommes pas égaux devant la maladie, certains ont beaucoup plus de symptômes, d'autres non et d'autres encore sont asymptomatiques. Mais comme cela commence comme un refroidissement, je pense que beaucoup, comme moi, ne font pas de test. Etant toujours à l'écoute de mon corps, dans tous les domaines, je savais sans le test que je l'avais, au vu de la différence avec un refroidissement. Ayant eu un petit refroidissement en novembre, je peux attester de la différence car, en général, quand je commence à avoir mal à la gorge lors d'un refroidissement, dans les deux jours un gros rhume se déclare mais pas il y a un mois. Et surtout, quand j'ai un refroidissement, le rhume et la toux durent plus d'un mois, là non. Par déduction, j'ai attrapé le virus et quelques personnes, lorsque j'ai décris les symptômes l'ont aussi confirmé. Bon, certes, ce variant Omicron n'est pas aussi virulent - bien que très contagieux - que le tout premier, ou les suivants, mais j'avoue quand même qu'au début j'avais peur de l'attraper. Et là, même plus d'une année après la troisième dose du vaccin, il est quand même passé par moi. Mais je remercie Dieu que les symptômes n'étaient que très légers.
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Ayant vécu toute ma vie dans le canton de Vaud en Suisse, déménager à l'autre bout du pays ne semblait pas être une tâche facile et plusieurs personnes me l'ont fait remarquer.
La tâche semblait très compliquée, mais je savais que j'arriverai à la surmonter. Quand je l'ai annoncé autour de moi, certaines personnes m'ont dit qu'au cas où cela n'irait pas dans ma nouvelle ville, je pourrais toujours retourner dans mon ancien canton, mais pour ceux et celles d'entre vous qui ont fait de grands déménagements, vous comprendrez que non seulement ce n'est de loin pas facile de tout emballer, de jeter beaucoup de choses, de trouver un déménageur, et surtout encore moins lorsque l'on est handicapé. De plus un déménagement à plus de 300 kilomètres, cela coûte cher, donc, avant de prendre ma décision j'avais tout bien calculé, en travail, en coût et en fatigue. Par chance, j'ai aussi obtenu de l'aide pratique et aussi financière au début. Il faut dire que lorsque l'on change de canton, les prestations complémentaires de l'Assurance Invalidité ne suivent pas. L'ayant su assez tard, j'ai dû, près de trois semaines avant mon déménagement, faire une nouvelle demande au Tessin, en Suisse italienne. Je les ai obtenu quatre mois plus tard. Lorsque ma décision de déménager était définitivement prise, il me fallait trouver une église, un appartement, à distance - et en plus on était en plein dans la pandémie -, donc, cela n'avait pas forcément été très facile, ne pouvant pas visiter mon nouveau logement avant d'arriver. Ayant emménagé dans un immeuble récent - je faisais partie des premiers habitants - tout électronique, rien n'était facile et il y a eu beaucoup de détails à apprendre. La première année était relativement difficile, avec pas mal de problèmes divers, tant dans la technique de l'immeuble, dans les soins et dans les finances. Mais par la grâce de Dieu, j'ai eu de l'aide de plusieurs personnes de ma nouvelle église, notamment pour vider les cartons. Après avoir passé plus de 30 ans à l'église que je fréquentais à Lausanne, il n'a de loin pas été facile de m'intégrer dans la nouvelle. Bien que pas très différente, le fait de parler, de chanter en italien, n'a pas été spontané. Il m'a fallu quasiment une année et demie pour réussir à chanter lors des cultes et surtout à y participer le plus souvent possible. A l'heure actuelle, sauf en cas de mauvais temps, j'y vais tous les dimanches, je m'y sens bien accueillie et intégrée. Concernant ma vie en générale, je me sens très bien ici, le climat me convient beaucoup mieux qu'à Lausanne, je vois des amis tous les mardi matin, ou presque, je sors manger au restaurant et me promener au bord du lac le dimanche après le culte et, grâce à mon fauteuil roulant, je suis beaucoup plus libre et autonome. Je suis également beaucoup plus indépendante dans mon appartement, pouvant maintenant me doucher seule et faire ma lessive, ce que je ne pouvais pas faire à Lausanne. Grâce à la pratique, j'arrive maintenant à parler l'italien plus facilement, même si je fais beaucoup d'erreurs. Est-ce que je regrette mon choix? Pas le moins du monde. Cela n'a pas été facile du tout, mais par les forces que Dieu me donne, j'ai réussi à bien m'intégrer. Et tout à fait honnêtement, je me sens tellement bien ici que pour rien au monde j'aimerais retourner à Lausanne ou dans le canton de Vaud. Bien que j'ai effectué tout ce changement de manière détendue, je pense qu'au fond de moi je devais malgré tout être stressée, la preuve en est qu'en plus de 3 ans, entre le décès de ma maman et le déménagement, j'ai perdu 10 kg. Même si, par moment, je trouve que mon idée de déménager était peut-être un peu farfelue, je sais que je vis là où Dieu voulait que je vive et, grâce à Lui, j'avoue que j'ai bien géré les choses et les détails. Mais pour être honnête avec vous, mon prochain déménagement sera pour aller dans une maison de retraite, quand je ne pourrais plus vivre seule, ou pour aller au ciel. J'en avais déjà vaguement parlé il y a quelques mois, mais j'avoue que depuis quelque temps, il n'est franchement pas agréable d'être une femme sur les réseaux sociaux, tant certains hommes se déchaînent à nous importuner.
Que ce soit sur Twitter, Instagram ou Facebook, ces hommes ne manquent pas de nous contacter en se faisant passer pour des artistes que nous suivons. Cela m'est arrivé sur les trois sites, mais le pire reste encore Facebook. Il ne se passe quasiment pas une seule semaine durant laquelle ces hommes ne postent les mêmes messages sur tous les commentaires des femmes sur des pages diverses, que ce soit des animaux, des artistes ou autres. Cela se résume plus ou moins à: 'Je suis très intéressé par ton profil, tes commentaires sont très intéressants, peux-tu m'envoyer une demande d'amis car, pour une raison inconnue, ma demande ne passe pas.' Cela peut légèrement varier selon la personne. Le hic, c'est que mon profil n'est visible que par mes amis, donc, à part quelques petits détails, ils ne peuvent rien voir de mon profil. Rarement cela arrive qu'ils m'envoient une demande d'amis que je refuse, bien entendu. Cela m'est arrivé une fois que j'accepte une demande d'amis car cette personne me semblait être une chrétienne, mais au bout de quelques minutes, j'ai vite compris que celle-ci n'était qu'un idiot de plus. Je l'ai donc immédiatement bloqué. Le gros problème sur Facebook est que si vous signalez ces personnes comme étant des arnaqueurs potentiels, ils vous disent que leurs messages n'enfreignent pas les standards de la communauté, donc, ils ne font rien. Mais le hic est que lorsque vous postez votre propre vidéo d'un concert, de surcroît sur votre propre groupe, ils la suppriment en disant que votre message enfreint les standards de la communauté!?! Je sais bien que cela fonctionne par des algorithmes, mais alors quoi? Ils préfèrent accepter les idiots qui énervent plus d'une femme? Dans le même temps, il y en a qui se font passer pour des artistes que vous aimez et suivez. Là encore, ils n'ont aucun scrupule, ils subtilisent les photos et les informations de l'artiste en question pour créer un faux profil, alors que l'un de ces artistes a posté un message informant les fans qu'il n'a qu'un seul profil. J'ai d'ailleurs remarqué que ces faux profils, que ce soit sur Instagram ou Facebook ont été supprimés. Dernièrement, un faux profil a été créé au nom du chanteur pour lequel j'ai créé une page de fans. Alors que ce chanteur est un ami, je lui en ai parlé, ainsi qu'aux fans du fan-club. Je sais que le chanteur en question l'a signalé. Maintenant est-ce que ce faux profil a été supprimé, je n'en sais rien. Visiblement cette personne se faisait passer pour le chanteur en question, vu le message qu'il avait posté sur l'un de mes commentaires. Le hic est qu'avec moi il est vraiment mal tombé. Ayant été victime d'arnaqueurs par le passé, maintenant je les vois venir et je ne tombe pas dans leur piège. Le moins que l'on puisse dire est qu'actuellement on ne peut faire confiance à personne, nous devons être très vigilant pour ne pas tomber dans leurs pièges. Seulement cette pratique de Facebook à propos des standards de la communauté en irrite plus d'un et j'avoue qu'il faut avoir les nerfs solides pour accepter leur manière d'agir - ou de ne pas agir -. Tout à fait honnêtement, si je ne travaillais pas pour les fan-clubs, street-teams ou autres pages/groupes sur Facebook, je pense que je quitterais ce site, mais pour le travail que je fais, certes, comme passe-temps, il m'est malgré tout indispensable. Je dois sérieusement apprendre à garder mon calme, mais ce n'est pas toujours facile. Certainement que vous vous demandez qu'est que Razorrock? Je me trompe? En fait, depuis quelque temps, j'essaie de découvrir des groupes de heavy metal suisse, principalement de ce côté-ci du pays, autrement dit, dans le sud du pays. Donc, en cherchant sur un site de heavy metal, j'ai découvert qu'il existe ce groupe, Razorrock, qui vient de ma petite ville de Locarno au Tessin. Ils se sont formés en 2015, mais à l'heure actuelle, ils n'ont qu'un seul album. Ceci dit, ces derniers mois ils semblent être plus actifs vu qu'ils ont sorti cette nouvelle vidéo en décembre 2022. Bonne découverte! A l'époque, lorsque j'étais 'fan' d'un groupe, il n'y en avait qu'un seul. Depuis que j'ai commencé à découvrir plusieurs groupes, j'avoue que je ne peux plus me centrer sur un seul à la fois. Ce qui fait que maintenant je les classe par 'catégorie' si je peux dire. Il y a le top des tops de mes groupes préférés, le top de mes groupes préférés et les 'viennent ensuite' :-) Pendant quelques années il n'y avait que Freedom Call dans le top des tops de mes groupes préférés, mais depuis quelque temps, j'ai ajouté le groupe de power metal finlandais Beast in Black. J'ai eu l'occasion de les voir en concert le 10 février 2023 et j'avoue que ce concert était tout simplement incroyable, dans une salle complète. Les musiciens ont une énergie incroyable et j'avoue que cela donne une ambiance tout simplement fabuleuse dans la salle, où tous les fans chantent avec le groupe, comme vous pouvez le voir sur la chanson que j'ai filmée vers la fin du concert. J'en arrive maintenant au dernier point concernant ma santé, mon handicap.
Bien que je sois née avec cette maladie rare appelée 'Dysplasie Spondylo-Epiphysaire Congénitale', c'est seulement quand j'ai commencé à marcher que mes grands-parents ont remarqué que j'avais quelques problèmes, notamment du côté des hanches. Du fait que c'était, à l'époque, une maladie relativement inconnue, les médecins prétendaient que je faisais 'du cinéma'. Il faut dire que dans les années 70, sauf erreur, nous n'étions que trois en Suisse et une dizaine dans le monde à en être touchés. Je pense que maintenant nous sommes beaucoup plus de personnes atteintes. Parmi les symptômes qui sont au nombre d'une soixantaine, j'ai encore de la 'chance' de ne pas être trop atteinte dans ma santé. Toutefois, en ce qui me concerne, la forte myopie dès l'âge de 13 ans, la petite taille (non le nanisme car je suis 'bien proportionnée'), certaines articulations bloquées et d'autres atteintes par l'arthrose, les douleurs constantes qui passent d'une articulation à l'autre, sont les principaux problèmes que je possède. Autant que je me souvienne, cette maladie touche principalement les cartilages des os. Il faut dire que je n'ai pas réellement fait de recherches pour en savoir plus, ou plutôt, j'ai oublié une partie des détails. A cause des problèmes osseux, à l'âge de 6 ans, j'avais été opérée des pieds car, d'après ma maman, j'avais un os de trop dans les talons (comprenne qui pourra). Je ne comprenais pas franchement cela car je ne m'en souviens pas vraiment. C'est seulement il y a une dizaine d'années, ou un peu plus, que mon rhumatologue avait remarqué qu'un os se formait sur mon épaule gauche, et c'est là que j'ai compris l'histoire de l'os de trop dans mes talons. Il est toujours là, mais ne me dérange pas et ne me fait pas souffrir. L'autre problème est l'arthrose précoce. A l'âge de 12 j'avais de l'arthrose dans les hanches et j'avais été opérée pour la pose de prothèses, des deux côtés, à deux semaines d'intervalle. Neuf ans plus tard - les prothèses de l'époque avaient une durée de vie d'une dizaine d'années seulement - on me retirait la prothèse gauche et le médecin avait fait un cerclage (là aussi, comprenne qui pourra :-) ), ce qui fait que je n'ai plus de prothèse, juste une espèce de double boucle faite de je ne sais pas quelle matière. Douze ans après la pose des prothèses, on me retirait la droite, mais on m'avait alors posé une plaque et des vis car le fémur s'était fendu au retrait de la prothèse, plaque qui, elle, avait été retirée trois ans plus tard. Deux ans avant le retrait de la première prothèse, j'avais encore dû être opérée du genou droit pour le retrait de la rotule, sans pose de prothèse et cela fonctionne bien. A l'heure actuelle, ma maladie est relativement stable, bien que j'aie maintenant de l'arthrose dans l'épaule droite et le coude gauche, qui, de temps en temps me font un peu souffrir. Ma taille a un peu baissé, notamment, je pense, à cause du retrait des prothèses, mais peut-être aussi à cause de l'âge, je ne sais pas trop; j'ai perdu 6 cm voire un peu plus. Juste avant mon opération des hanches, après avoir marché plus ou moins normalement, j'étais en fauteuil roulant. Suite à l'opération, je pouvais de nouveau marcher. Après le retrait de la prothèse gauche, je ne sais pas ce qui s'est réellement passé durant l'intervention, mais il se pourrait qu'un nerf ait pu être touché, car depuis lors, je ne peux pas rester debout sans m'appuyer sur des cannes, le dos me faisant souffrir. D'où, je suppose, l'atteinte par l'arthrose de mon épaule droite et le coude gauche. Ne pouvant marcher sur de longues distances, je possède maintenant un fauteuil roulant électrique pour les sorties à l'extérieur, je peux marcher avec mes cannes à l'intérieur ou dehors sur quelques mètres, mais pas plus, histoire de garder la mobilité. J'ai récemment découvert qu'un acteur, Warwick Davis, qui, entre autres films, a joué le rôle principal du film 'Willow', est également atteint de la même maladie. Cela vous arrive-t-il d'avoir constamment dans chansons qui tournent en boucle dans votre tête? Si oui, vous êtes comme moi. J'ai essayé de faire des recherches sur internet, mais j'avoue qu'il n'y a pas grand chose.
Il semblerait que cela soit un phénomène qui s'appelle 'imagerie musicale involontaire' (IMMI). Il semblerait que le mécanisme cérébral qui déclenche ce phénomène est inconnu. D'après un article d'une revue anglo-saxonne, l'épaisseur corticale serait réduite. Des chercheurs ont fait des recherches entre les personnes qui vivent mal ce phénomènes et ceux qui le vivent plutôt bien. Pour ceux qui le vivent mal, ils ont plus de matière grise dans le lobe temporal droit et il y aurait des variations du volume de la matière grise dans une zone cérébrale pour les personnes chez qui le phénomène ne dérange pas. Pour les chercheurs ces phénomènes apportent la preuve que les IMMI mobilisent 'les circuits cérébraux impliqués dans la perception, les émotions, la mémoire et les pensées spontanées. (article paru sur le site science et avenir en France en 2015). Bon, passons sur les quelques explications difficiles à comprendre. Certes, j'aime beaucoup la musique, bien que depuis quelques années je n'écoute que relativement peu de musique; tout au plus quelques chansons de temps à autres. Mais voilà, la musique ne s'arrête jamais dans ma tête. Il suffit que j'entende quelques notes qui me font penser à une chanson pour que celle-ci vienne en force dans la tête. De plus, ce n'est jamais la même chanson, il y a un 'tournus', en quelque sorte, qui passe d'un chant interprété lors du culte à l'église le dimanche à un tout autre style de musique et ceci quasiment 24 heures sur 24. Les seuls moments de répit sont quand je dors et quand je visionne un film. J'ai envie de dire, quand je suis concentrée sur quelque chose cela se calme provisoirement. Comme je disais plus haut, j'aime beaucoup la musique - ai-je besoin de le préciser? -, ce phénomène ne me dérange pas le moins du monde, je le trouve plutôt 'amusant', mais en même temps, j'avoue que de temps en temps un peu de 'silence' dans ma tête ne me dérangerait pas trop. Eh bien, nous voilà déjà en décembre 2022! L'année est passée beaucoup trop vite selon moi.
Comme vous le savez sans doute si vous suivez mes aventures sur le blog ou sur le site, mon année a été très chargée, notamment concernant le cours que je suis, The Creationist Worldview, que j'ai débuté au début du mois de février. Etant donné qu'il s'agit d'un cours qui se fait sur une année, j'ai jusqu'au début février 2023 pour le terminer et j'avoue que si j'y arrive c'est que j'aurais accentué mon activité d'ici là. En réalité, j'y arriverai, mais je dois changer ma façon de faire. Jusque là, j'écrivais tous les textes des leçons pour mieux retenir ce qui est écrit, mais ayant perdu un peu de temps au début (problème de gestion du temps) et surtout ces dernières semaines avec des articles trop longs pour y arriver en une semaine, je vais être obligée de faire surtout du copier/coller pour les prochaines leçons, plus les lectures dans les livres et les tests de connaissance. Ca va être chargé! J'avoue qu'à part le cours, cette année a été relativement calme, surtout le seconde moitié. Je continue mes sorties toutes les semaines, même si depuis cet automne je les fais principalement le dimanche, mais depuis que le froid est arrivé, j'ai un peu ralenti les sorties. Ceci dit, j'essaie toutefois d'aller toutes les semaines manger une fois au restaurant, en changeant à chaque fois, histoire d'en découvrir d'autres, bien qu'il y en a certains que je fréquente plus souvent. Dans le même temps, depuis quelques mois, je participe pratiquement tous les mardi au café des amis romands (la partie francophone de la Suisse pour les personnes non suisses :-) ) qui habitent la région. C'est toujours un plaisir de passer une à deux heures à parler en français devant un café ou un apéritif. Du côté des sorties, en dehors de promenades locales, je suis allée à Lausanne et à Genève au mois de mai pour un contrôle médical de ma maladie à l'hôpital de Genève. J'en ai profité de rester quelques jours à Lausanne pour revoir des connaissances. Mis à part ce séjour en Suisse romande, c'était enfin le retour à des concerts après 3 ans, au mois de novembre. Je suis allée à Zurich le 12 novembre et à Pratteln le 24 novembre. Deux concerts fabuleux et ce n'était qu'un début :-) Deux concerts où j'ai pu y aller avec mon fauteuil roulant, ce qui était nouveau pour moi. En réalité, d'avoir pris conscience de mes avantages, notamment de pouvoir me rendre à des concerts dans d'autres salles qu'à Pratteln, j'ai décidé de ne plus participer à la croisière 70'000 tons of metal. Il faut dire que j'ai également d'autres voyages que je souhaite pouvoir faire pendant que ma santé me le permet et cette croisière coûte quand même pas mal d'argent, donc associer tous ces voyages, cela fait beaucoup trop de dépenses pour une seule année. Du côté de ma santé, la tendinite que j'avais au poignet droit s'est enfin calmée, depuis maintenant quelques mois. Mis à part des douleurs articulaires ici ou là, je n'ai pas trop souffert cette année. Mis à part un petit refroidissement lié au fait que j'ai eu très froid à Pratteln au retour le 25 novembre, je suis en bonne santé. Malgré le fait que je n'ai pas fait la quatrième dose du vaccin Covid et ma participation aux deux concerts plus les voyages durant lesquels j'ai croisé énormément de personnes, je ne l'ai, à ma connaissance, pas attrapé. La situation dans mon appartement s'est également bien améliorée depuis que j'ai emménagé en avril 2021. Les problèmes de condensation ne sont plus apparues durant cette année. Il faut dire que j'ai aussi appris à gérer les spécificités de la maison. Tout au long de l'année, la température intérieure a été d'environ 23 - 25 degrés, ce qui est fort agréable. Je continue d'apprécier me vie ici. Les gens sont vraiment serviables et j'avoue que cela change de ce que je vivais à Lausanne. Finalement, en y réfléchissant, je suis foncièrement beaucoup plus épanouie ici que je ne l'étais avant mon déménagement. N'ayant pas, depuis le décès de ma maman en février 2018, eu de bons contacts familiaux, la situation ici ne pouvait pas être différente, sauf que j'ai plus de contacts amicaux. En tout cas ma famille ne me manque pas. Concernant l'église, j'ai enfin réussi à m'intégrer, bien que je n'arrive pas à y aller toutes les semaines. Ma participation dépend principalement de la météo et de ma nuit de sommeil avant le dimanche; faut dire que se lever à 6h30 quand on n'a dormi que 2 heures, c'est quand même très facile. L'avantage est que nous retrouvons les cultes sur internet, donc, au pire des cas, je peux les écouter dans la semaine. Spirituellement, le cours que je suis m'aide énormément à mieux connaître Dieu et la Bible. Depuis cet été, je suis également un cours francophone sur l'Apocalypse. Les deux cours seront terminés au mois de février. Par la suite, je vais prendre un temps de repos. Je pourrai me centrer un peu plus sur mon blog, mon site et mon activité sur Facebook. A deux semaines de la nouvelle année, j'espère que vous passerez tous et toutes de bonnes Fêtes de fin d'année. J'avoue ne plus trop savoir quoi penser de cette pandémie et des décisions des gouvernements. Je veux bien admettre qu'au début il y avait de quoi s'alarmer vu que l'on ne connaissait pas cette maladie, mais avec le temps et les nouveaux variants les choses ont changé. Certes, il y a les vaccins qui évitent la forme grave de la maladie, mais tout à fait honnêtement et avec le recul, je me demande si réellement il est nécessaire que les gouvernements conseillent les vaccins pour tout le monde, vu qu'actuellement le nouveau variant, bien que très contagieux n'amène que des symptômes relativement légers voire aucun symptôme dans la majorité des cas.
Au début, j'avoue que je n'étais pas rassurée et j'ai fait les trois premières doses du vaccin, même si je ne suis pas une personne à grand risque. J'ai, je l'avoue, quelque peu paniqué alors qu'en tant que chrétienne j'aurais dû faire plus confiance à Dieu. La peur de tomber malade je suppose alors que je ne suis que rarement malade et que j'ai eu des maladies, à mon avis, tout aussi importantes que le Covid dans ma vie. Mais là où la situation actuelle me dérange un peu c'est que nous sommes au mois d'octobre, à la Xème vague pour cette année - j'ai arrêté de compter pour être honnête -, qu'à la vague précédente du mois de juillet les gouvernements ne parlaient pas de vaccin ni de précautions à prendre, rien du tout en fait, comme si la vague n'était pas là alors que le nombre de cas augmentait beaucoup. Actuellement, on nous conseille de faire la quatrième dose du vaccin, de prendre des précautions, bien que le port du masque ne soit pas encore imposé. Mais dites-moi, qu'est-ce qui a vraiment changé depuis juillet? Il semble que le variant soit le même, donc, pas plus important que celui de juillet. Certes, il fait plus froid, mais pas encore assez pour rester à l'intérieur, donc, tout à fait honnêtement, pourquoi faire plus attention qu'en juillet? Je connais énormément de personnes qui ont été trois fois vaccinées qui ont attrapé la maladie et pas uniquement avec des symptômes légers, j'en connais d'autres, à risque et non vaccinées qui ont eu une forme pas trop grave de la maladie et des autres non vaccinées avec des symptômes légers. Bref, tout ça pour dire que vaccinés ou non, on peut malgré tout attraper la maladie avec des symptômes plus ou moins grave selon les cas. Nous ne sommes pas égaux face à la maladie que nous soyons ou non vaccinés. Je suis loin d'être la seule à avoir pris cette décision, mais je n'ai pas l'intention de faire cette quatrième dose du vaccin, même si je vais participer à deux concerts en novembre. Si je dois l'attraper, ce sera sous la protection de Dieu. Etant donné qu'il y a toujours quelque chose à dire sur ma personnalité, surtout aussi pour ne pas rédiger des articles trop long, j'ai décidé d'en faire un second sujet, afin de compléter le premier :-)
Je dois confesser que je suis quelqu'un de relativement instable. Tant je suis fidèle à mon église, à la musique que j'aime et que je ne déménage que rarement, j'ai tendance à très vite me lasser d'une activité ou une autre dans ma vie, mais pas seulement d'une activité, malheureusement, il peut aussi s'agir d'une personne ou une autre, ou d'ailleurs tout être vivant. Concernant les activités, j'aurais tendance à passer plusieurs semaines à lire, par exemple, puis plus du tout pendant un temps et à passer à autre chose. Disons que je suis fidèle à une activité durant tant de semaines, puis ensuite je passe à autre chose et à autre chose par la suite, etc... En ce qui me concerne cela ne me dérange pas, mais cela pourrait déstabiliser une personne ou une autre. Disons qu'arriver à avoir une activité durant plusieurs mois n'est pas facile pour moi, il faut vraiment que je m'accroche ou il faut que cela soit très intéressant. Concernant la fidélité à des êtres vivants, cela n'est pas plus facile. J'ai eu une chatte pendant 17 ans et, j'ai vraiment très honte de le dire, mais d'une certaine façon, je me réjouissais qu'elle ne soit plus là. N'interprétez pas mes propos comme si je n'étais pas heureuse de l'avoir à mes côtés ou que je n'aime pas les animaux, mais au bout d'un moment il y a eu de la lassitude. Je le sais et je n'en suis pas fière du tout. Concernant les humains, finalement cela n'est pas très différent, maintenant cela dépend de la présence ou non de l'autre personne dans ma vie. Tant qu'une personne est distante avec moi, cela va très bien, mais si cette personne ou une autre, est très présente (voir mon article sur les personnes envahissantes) cela est tolérable pour moi pendant un temps, puis je m'en lasse. Vous devez certainement penser que je suis intolérante, sans compassion ou je ne sais quoi, mais malheureusement je suis comme je suis, si désespérant cela puisse être pour les autres personnes. De quoi cela vient, je n'en sais trop rien, mais probablement pas de mon handicap vu que celui-ci est physique. Il y a une chose dont je suis certaine c'est que dans la plus grande partie de ma vie je voulais être aimée et appréciée par les autres, et comme je le disais dans mon article sur les personnes envahissantes, je l'étais moi-même et je n'en suis pas fière. Il y a une chose que j'ai compris avec le temps c'est qu'à trop vouloir rechercher la compagnie des autres on fini seul(e). Je ne le regrette pas du tout et c'est ce qui fait que je suis devenue solitaire. Le plus difficile c'est de faire comprendre aux autres personnes que vous ne voulez pas de leur compagnie sur le long terme. Plus facile à dire qu'à faire. Je ne pourrais pas dire qu'il en est de même pour les sorties, bien que jusqu'à ce que je déménage au Tessin, je ne sortais que très peu de chez moi, du moins depuis 2018 quand ma maman est décédée. Il y a eu le deuil très difficile qui fait que je suis restée enfermée sans même aller à des concerts alors que jusque là j'y allais souvent. Ensuite il y a eu la pandémie qui, je dois l'avouer, était peut-être un bon prétexte pour rester à la maison, mais comme le pneumologue me disait que j'étais à risque, j'ai suivi ses conseils. Maintenant suis-je réellement à risque, Dieu seul le sait. Toujours est-il que depuis que j'ai déménagé, et surtout depuis que j'ai pu sortir à cause des travaux autour de l'immeuble, je sors maintenant toutes les semaines ou presque. |
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